So Israël will start randomized HBOT trail for COVID19 ?

So here study in Israel will start soon:

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04358926

The purpose of Israel’s study is to evaluate the efficacy of HBOT in moderate-severe COVID-19 patients in a randomized controlled manner.

This Swiss study and also some studies in USA ( with hbot) still makes me think that hbot may be good therapie for COVID19 patients :

I will explain 

Hère Swiss last study: ( published in Lancet)

This is new interesting study:

« The endothelial tissue of younger patients is usually capable of coping well with the attacks launched by the virus. The situation is different for patients suffering from hypertension, diabetes, heart failure or coronary heart diseases, all of which have one thing in common – their endothelial function is markedly impaired. If patients such as these become infected with SARS-COV-2, they will be particularly at risk, as their already weakened endothelial function will diminish even further, especially during the phase in which the virus reproduces the most.  « 

Study:

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30937-5/fulltext

Link to Swiss article :

http://www.en.usz.ch/media/press-releases/pages/covid-19-endotheliitis.aspx?DeviceChannel=Mobile

So in fact they talk about :

Endothelial dysfunction  And capacity to produce nitric oxide (NO)….

And we have a lot of studies ( with hbot) One of them Shai study:

« In a study on rats with normal mitochondrial function, HBOT increased the production of adenosine triphosphate in muscle tissue compared to a control group [29]. Moreover, in a clinical study by Li et al., it was demonstrated that HBOT may improve myocardial blood perfusion, reduce inflammation and vascular endothelial dysfunction, and further improve myocardial microcirculation in patients after the implantation of drug-eluting stents [30]. Aparci et al. evaluated the changes following a series of 10 hyperbaric sessions in diabetic patients [31] »

https://www.researchgate.net/publication/338667041_The_effect_of_hyperbaric_oxygenation_therapy_on_myocardial_function

So if  HBOT improve myocardial blood perfusion, reduce inflammation and vascular endothelial dysfunction we are searching improve level of NO ( in all types cardiac patients) so I think for such category of patients may be hbot could be used even before any COVID19 infection ?.. ( may be than if their capacity to produce nitric oxide (NO)will be normalise or almost) we will see much more less cardiac person with bad Covid 19 outcome ????

This study as well…. 

https://www.researchgate.net/publication/321256684_Effects_of_hyperbaric_oxygen_on_vascular_endothelial_function_in_patients_with_slow_coronary_flow

HBot is good for heart functions

A new study demonstrates the positive, sustained effect of hyperbaric oxygenation therapy (HBOT) protocols on heart function in healthy aging heart populations.

The study, led by Dr. Marina Leitman, Dr. Shmuel Fuchs, Dr. Amir Hadanny, Dr. Zvi Vered and Efrati, was published in the International Journal of Cardiovascular Imaging.

https://www.prnewswire.com/il/news-releases/for-first-time-data-demonstrates-promise-of-regenerative-hyperbaric-oxygen-therapy-hbot-protocols-to-improve-cardiac-function-in-healthy-aging-heart-population-sagol-center-for-hyperbaric-medicine-and-research-investigators-fi-300996149.html

https://mobile.hospimedica.com/?option=com_mobile_article&Itemid=294780863

le premier chapitre…de livre

Bonjour à tous et à toutes !

Je vous propose de revenir sur le livre que j’ai rédigée en 2019 avec Julie Lucquet (https://cellequilie.net).

L’ouvrage commence par le récit du drame : mon fils de 4 ans, Marc, s’écroule au milieu de l’après-midi et son cœur cesse de battre. Comment ? Pourquoi ? Mon mari et moi n’en avons pas la moindre idée, mais nous ne nous posons pas de question : nous commençons immédiatement les premiers soins pour sauver notre fils.

Trois ans plus tard, j’ai accueilli Julie pour lui raconter cette histoire. Pendant 10 heures au total, nous avons évoqué ce qui a suivi : la réanimation de Marc, ses multiples opérations pour soigner son syndrome cardiaque rare et son combat pour retrouver chaque jour un peu plus de ses facultés.

Aujourd’hui, je vous invite à en lire le premier chapitre…

Bonne lecture !

 

L’année 2016 venait de commencer. Nous avions passé les fêtes en famille : un joyeux Noël, puis le Nouvel An… Marc était alors en moyenne section, et l’école avait repris son cours au début de la semaine. Puis, le samedi est arrivé, et nous avons décidé de nous rendre à Max Aventure, une plaine de jeux couverte située dans l’enceinte du stade des Alpes.

Rien d’inhabituel : Marc connaissait bien les lieux, il y avait même fêté son quatrième anniversaire avec tous ses copains ! Aux environs de treize heures trente, je suis allée prendre un café. Jean-Marc a accompagné notre enfant au toboggan, puis est venu me retrouver, un grand sourire aux lèvres. Fier de son fils, il a claironné : « Il est devenu grand, notre Marc ! Il gère super bien au toboggan ! »

Là-dessus, peut-être prise d’un mauvais pressentiment, j’ai demandé : « Mais où est Marc ? » D’habitude, il montait et descendait le toboggan à toute vitesse, nous ne le perdions de vue que le temps qu’il fasse le tour pour y remonter. Mais là, notre fils restait invisible ! J’ai commencé à courir le long des structures de jeux pour le retrouver, sans succès. Jusqu’à ce que j’ai le réflexe de lever les yeux vers les écrans de surveillance, et que je distingue une forme allongée, immobile, dans le couloir en mousse d’une des structures… Marc ! Je suis montée le rejoindre à toute allure et, une fois à sa hauteur, j’ai vu ses yeux se révulser. J’ai hurlé, remplie d’une soudaine panique ! Jean-Marc est arrivé juste derrière moi. Je lui ai dit que nous ne pouvions pas laisser Marc dans ce passage si étroit. Il l’a alors tiré et poussé comme il a pu pour le dégager du couloir. Une fois notre fils hors du tube, il l’a ensuite porté vers un endroit où des matelas étaient posés à même le sol.

Notre premier réflexe a été de pratiquer sur Marc la manœuvre de Heimlich, car nous pensions qu’il s’était étouffé avec un bonbon ou un petit objet quelconque. Mais je me suis aperçue que Marc avait des traces de vomi sur la bouche, en plus d’être totalement inerte, et j’ai stoppé mon mari dans son action. Entre-temps, alertée par nos cris communs, la directrice du centre, Cécile, est arrivée en courant et, grande chance, elle avait été formée aux premiers secours dans le cadre de son travail ! Son premier réflexe a été d’attraper le poignet de Marc. Quand elle a constaté qu’il n’avait pas de pouls, elle a immédiatement entamé un massage cardiaque. En parallèle, elle m’indiquait le rythme pour pratiquer le bouche-à-bouche. Le SAMU a été appelé dans la foulée, et a gardé Cécile en ligne pour la guider dans la procédure. À aucun moment, nous n’avons cessé le massage cardiaque, ni le bouche-à-bouche…

Cinq minutes…

Pendant ce temps, alors même que je participais activement à la réanimation, j’avais l’impression d’être ailleurs, comme si je regardais l’action de plus loin, sans être vraiment là. Pourtant, j’étais bien là… La seule chose qui tournait en boucle dans ma tête, c’était : « Si mon fils doit mourir, je veux mourir avec lui, je ne veux pas rester sur Terre sans lui, je ne peux pas ! »

Dix minutes…

Jean-Marc pleurait, en proie à la panique la plus totale. J’essayais tant bien que mal de garder la tête froide, alors je lui ai dit d’aller attendre l’ambulance dehors pour montrer le chemin à l’équipe médicale. 

Quinze minutes…

Mon mari a rencontré des militaires de l’opération Sentinelle une fois à l’extérieur et il leur a demandé de l’aide. Ils sont venus et ont pris le relais pour le massage cardiaque et le bouche-à-bouche. L’officier a voulu m’éloigner dans un premier temps, mais j’ai refusé. Je lui ai dit que j’étais la mère de Marc, et il n’a pas insisté.

Vingt minutes…

Le SAMU est enfin arrivé ! Les urgentistes ont alors intubé Marc et lui ont insufflé de l’oxygène au ballon. Puis, ils l’ont placé dans l’ambulance. Le médecin en charge de l’équipe a juste eu le temps de m’adresser ces quelques mots : « Madame, je ne vais pas vous cacher que votre fils est dans un état très grave. » 

Allongé sur le brancard, notre fils semblait mort… 

Le cœur pétri d’angoisse, mon mari et moi avons été installés à l’arrière d’une deuxième ambulance, suivant de près le véhicule d’urgence emmenant notre fils. Direction : le CHU Nord.

 

Vous avez aimé ? Vous trouverez la suite ici.

https://www.amazon.fr/Marc-Linvincible-r%C3%A9cup%C3%A9ration-remarquable-c%C3%A9r%C3%A9brales/dp/B07Y4KC5S1

Pons ( français) pourquoi pour enfants IMC?

Cet machine: PoNS

Étude IMC pour neurostimulation PoNS il est reconnu par FDa:

PoNS a été étudié en Russie pour enfants IMC.

Étude publiée : https://www.researchgate.net/publication/334400894_Translingual_Neurostimulation_in_Late_Residual_Stage_Cerebral_Palsy_Children_Treatment_Affects_Functional_Brain_Networks

Justement étude russes a comparé 2 groupes

Enfants qui recevaient réhabilitation intensif pure groupe ТР en russe( très intensif) 28 jours à hôpital St Petersbourg:

Et groupe BTP (avec Pons)

( oui avec Lokomat/armeo/ ets )…..

Groupe BTP résultats beaucoup vraiment beaucoup plus prononcé…

Regarder cet film fait le buzz :

https://vimeo.com/181665292

Il est déjà reconnu à Canada mais que payent et pour adultes traumatisme crânien :

https://montreal.ctvnews.ca/mobile/montreal-clinic-s-tongue-tickler-approved-by-health-canada-to-treat-brain-injuries-1.4208136

Une nouvelle méthode innovante d’utilisation de la neurostimulation périphérique pour la neurorééducation a été présentée au Congrès mondial de psychophysiologie de Saint-Pétersbourg en 2010. Cette méthode a été mise au point à l’Université du Wisconsin, aux États-Unis, dans un laboratoire dirigé par le scientifique réputé Paul Bach-Rith, l’un des fondateurs du concept moderne de neuroplasticité. Dans le laboratoire de communication tactile et de neuroréhabilitation, un dispositif de stimulation électro-tactile de la langue a été mis au point, ce qui a permis d’accroître de manière significative la sensibilité du cerveau humain à la restauration des fonctions perdues. Pour le moment, l’appareil porte le nom de neurostimulateur portable (PoNS). Il s’agit d’un appareil de nouvelle génération pour la neurostimulation périphérique, basé sur la stimulation électro-tactile de la peau humaine dans la région tactile la plus densément innervée – le langage. Le langage est techniquement préférable pour la stimulation électrique, car la cavité buccale offre des conditions plus favorables, telles qu’un niveau d’acidité constant, une température, une conductivité et une humidité constantes, ainsi que des seuils d’excitabilité plus bas que d’autres zones de la peau.

La méthode de neuroréhabilitation se base sur l’activation, en premier lieu, des structures du tronc cérébral et du cervelet, au moyen d’une stimulation électrique de la face antérieure de la langue. Selon la littérature, environ 20 à 25 000 fibres nerveuses transmettent l’influx nerveux de la surface antérieure de la langue (zone de stimulation d’environ 7,5 cm) au tronc cérébral. La matrice sur laquelle se trouvent les électrodes est de forme irrégulière, optimisée pour stimuler la région la plus sensible de la langue (Fig. 1A). La matrice elle-même comprend 143 électrodes divisées en secteurs (Fig. 1 . Dans chaque secteur, une seule électrode est active à la fois. La stimulation par une électrode se produit simultanément dans neuf secteurs. Les incitations alternent avec une fréquence de 50 Hz. Le stimulus est un triplet d’impulsions rectangulaires d’une durée de la microseconde.

Le principe de l’appareil repose sur la neuroplasticité cérébrale. La surface avant de la langue est unique. Il contient l’épithélium, relativement mince par rapport à la peau, de 300 à 400 microns d’épaisseur, saturé de divers types de récepteurs, ainsi que d’une zone à terminaisons nerveuses libres située dans les profondeurs. Cette zone de densité maximale de mécanorécepteurs présente un seuil de discrimination minimal en deux points: 0,5 à 1 mm pour la stimulation mécanique et 0,25 à 0,5 mm pour la stimulation électrique. Les deux principaux nerfs de la pointe de la langue fournissent des flux d’informations directement dans le tronc cérébral, activant ainsi le complexe de noyaux du nerf trijumeau, qui se propagent de la moelle épinière au milieu. A proximité se trouve le noyau solitaire, ici la formation réticulaire du tronc cérébral et 3 paires de jambes du cervelet. Comme on le sait, cette zone du tronc cérébral contient une grande accumulation de noyaux (86), dont la moitié est responsable de la régulation autonome de la circulation sanguine et de la respiration, et la seconde moitié est responsable de la régulation sensorimotrice. La stimulation rythmique intensive des neurones conduit à une activation correspondante des contacts synaptiques et des axones, y compris de l’ensemble des mécanismes neurochimiques pré- et postsynaptiques. La stimulation à partir du dispositif Pons améliore la capacité innée du cerveau à améliorer sa fonction. Le but de la stimulation: restaurer la fonction motrice ou enseigner de nouvelles habiletés motrices. Combiner l’activation du cerveau avec un entraînement physique ciblé visant à restaurer une fonction perdue ou à enseigner de nouvelles compétences, comme dans l’infirmité motrice cérébrale chez les enfants qui ne peuvent pas rester assis, debout ou marcher, peut activer les voies nerveuses directement associées à la fonction locomotrice.

Donc dans étude russe de PoNS:

Une comparaison des résultats de la balance motrice GMFCS avant et après le traitement a également révélé un effet thérapeutique plus prononcé du TTP.

Ainsi, dans le groupe TP ( en russe) ( méthodes traditionnelles reheducation intensif) il y a eu une amélioration significative des performances par rapport aux résultats avant traitement, mais il n’y a pas eu de changement qualitatif, car la valeur moyenne de l’échelle GMFCS est restée dans la nivau de 2 à 3 points, ce qui correspond au marcher avec avec des outils manuels.

Ainsi, la rééducation par les moyens et méthodes de traitement traditionnels n’a pas eu d’effet significatif sur le développement de grandes fonctions motrices chez les enfants atteints de paralysie cérébrale.

Les résultats du groupe BTP ( en russe) sur l’échelle GMFCS étaient nettement meilleurs après le cours de rééducation. Dans le même temps, le score moyen s’est considérablement amélioré, la fourchette allant de 1 à 2 points, ce qui correspond aux prévisions concernant la capacité de se déplacer de manière autonome avec des limitations. Cela signifie que les enfants peuvent se déplacer dans un espace clos ou dans une zone familière. Dans les zones ouvertes, les enfants ne sont pas en sécurité et ne peuvent pas faire plus de 3 ou 4 mètres par eux-mêmes.

Bon après sur mon blog c’est en anglais :

http://brain-injury-hope.com/2018/10/pons-and-sympathocor-and-brainport-balance-device/

Témoignage Pons + hyperbare 2018

Le 27 mars 2018 nous sommes partis pour Sofia, en Bulgarie, afin de récupérer un PONS Device. Notre fils a entamé une rééducation par ce biais dès le lendemain. Mais laissez-moi vous expliquer comment j’ai eu connaissance de cette technologie en premier lieu.

J’avais lu le livre de Norman Doidge, ouvrage conseillé par d’autres parents d’enfants cérébrolésés. Heureusement, sur Facebook se trouvent beaucoup de groupes privés, qui permettent à certaines personnes, intéressées par un même sujet, d’échanger à volonté.

C’est de cette manière que j’ai pris connaissance de l’existence du chercheur Youri Danilov, qui pilotait une étude clinique sur la technologie PONS. Je lui ai envoyé un message dans l’instant suivant et j’ai eu la chance qu’il me réponde. Nous avons ensuite conversé par Skype, et il a confirmé que cela pourrait aider Marc d’essayer, même si l’étude clinique était en cours et que les résultats n’étaient pas encore validés. Il faut savoir que le processus est extrêmement long avant d’obtenir une validation par les instances de santé correspondantes.

Un des avantages non négligeables de la technologie PONS était qu’elle ne présentait absolument aucun risque. Elle n’était pas non plus invasive. Marc n’avait absolument rien à perdre. Mais il fallait récupérer l’appareil sur place pour engager la location et faire une formation auprès de professionnels de santé afin de s’entraîner à manipuler l’appareil correctement.

Il était possible de récupérer un PONS Device en location, en Russie ou en Bulgarie. Pour des questions d’obtention de visa, il était plus rapide de s’orienter vers la Bulgarie, et c’est donc vers ce pays que nous nous sommes envolés.

Comment l’appareil PONS fonctionne-t-il ? Par électrostimulation, par l’intermédiaire de cent quarante-trois petites électrodes positionnées sur une languette. Cette languette doit être coincée sous la langue, dont le seuil d’excitabilité est extrêmement faible. Les impulsions rallient le cerveau très rapidement sans aucune douleur, dans une zone très spécifique. Au début, la puissance est réglée à son niveau le plus bas, puis l’intensité peut être augmentée progressivement, selon les progrès du patient.

En 2018, cette technologie a reçu l’autorisation de mise sur le marché au Canada et elle est utilisée légalement depuis, en dehors des études cliniques. Mais son coût est prohibitif : trente mille dollars canadiens pour quatorze semaines de location ! Or, les chercheurs qui se sont impliqués dans les recherches initiales pensaient que l’idée était de faire rembourser l’appareil par le gouvernement, pas de mettre les patients à sec financièrement ! D’autant que, par l’expérience de Marc, je peux affirmer que quatorze semaines ne sont pas suffisantes pour que les progrès d’un patient soient durables… Mon fils a commencé à utiliser l’appareil fin mars 2018, nous en sommes donc à plus d’un an d’utilisation, avec une pause lorsque le fil du chargeur s’est abîmé et qu’il ne remplissait plus son office.

Par ailleurs, j’ai dû me procurer plusieurs languettes d’avance, car celles-ci sont programmées et elles arrêtent de fonctionner au bout de trois mois. Elles ne peuvent pas être ré-encodées en l’état, il faut donc en changer régulièrement. Et je ne vais pas retourner en Bulgarie ou en Russie tous les trois mois.

Le 30 mars, nous avons enchaîné sur le trajet Bulgarie-Israël. Au programme, une autre série de séances hyperbares : trente heures à réaliser entre le 2 avril et le 12 mai. Donc nos résultats c’est un mélange cet fois- ci de pons + hyperbare.

Au bout de trois ou quatre semaines, nous avons commencé à constater les effets du PONS Device et des séances hyperbares. Marc est devenu plus habile.

Donc résultats Pons+ Hbot:

Le 12 mai, nous sommes revenus à Grenoble. Marc a repris l’école à ce moment-là. Le personnel du groupe scolaire n’en revenait pas ! Tous disaient l’avoir vu renaître… À la maison, nous avons eu la surprise de voir Marc commencer à manipuler des petits Legos, là où, auparavant, il n’utilisait que des gros blocs (style Duplo®). Quel progrès !

Fin juillet 2018, Marc a commencé à s’habiller tout seul. Là, j’attribue au PONS son amélioration en motricité fine : de même que Marc pouvait alors manipuler les Legos de son âge, il pouvait aussi attraper ses vêtements avec plus de dextérité.

Le 31 décembre 2018 l’appareil PONS est tombé en panne : une faiblesse au niveau du chargeur. Le temps de demander des visas pour la Russie (le centre bulgare ne gérait plus les PONS) et, en février 2019, nous sommes partis dans mon pays natal pour la réparation. Finalement, la prise du chargeur n’a pas pu être réparée, nous avons dû carrément changer l’appareil en location.

Nous sommes restés sur place quinze jours pour de la rééducation accompagnée dans le centre médical. Le kiné sur place ne parlait que le russe, mais il a su nouer une communication avec Marc et les séances se sont déroulées sans souci. C’est avec lui que Marc a monté pour la première fois à nouveau quelques marches d’escalier, sans se tenir du tout ! Ce kiné a aussi inventé une planche d’équilibre soutenue par 2 ballons, placés de part et d’autre. Cela sert à améliorer l’équilibre avant/arrière ou droite/gauche des patients. Ils peuvent ainsi travailler une compétence à la fois.

De Russie, j’ai ramené un DENAS, un autre appareil de neurostimulation transcutanée, utilisé cette fois en vue d’apaiser la douleur.

Scientific part ( studies):

2003,

First discovery of retention effects after tongue stimulation

Tyler, M., Danilov Y.P., Bach-y-Rita, P. Closing an open-loop control system: vestibular substitution through the tongue. J. Integr. Neurosci. 2, 2, 2003

2004,

First description of multiple positive effects of tongue stimulation

Yuri Danilov. Vestibular substitution for posture control, In.: Innovations technologiques et Handicap, Actes des Entretiens de l’Institut Garches, eds: F. Lofaso, JF Ravaud et A. Roby-Brami, Frison-Roche, Paris, 2004, pp. 216-225

2005,

Summary and perspective vision of use tongue stimulation in rehabilitation

Bach-y-Rita P, Danilov YP, Tyler ME, Grimm RJ. Late Human Brain Plasticity: Vestibular Substitution with a Tongue BrainPort Human-Machine Interface. J Intellectica. 2005, 40, pp. 115-122.

First two TBI patients demonstrate remarkable improvement after 2 weeks of training, at Chateau Rauzé Rehabilitation centre (specialized exclusively in the treatment of TBI) at Cénac near Bordeaux France._

PET scan study demonstrate rearrangement of brain activity after tongue stimulation in blind subjects

Ptito, Maurice, et al. « Cross-modal plasticity revealed by electrotactile stimulation of the tongue in the congenitally blind. » Brain 128.3 (2005): 606-614._

2007,

First 28 patients with vestibular loss.

Danilov Y. P., Skinner K. L., Tyler M. E., Bach-y-Rita P. Efficacy of electrotactile vestibular substitution in patients with bilateral vestibular and central balance loss, JOVR, 2007, 17, 119-130

2008

Independent verification in France, 8 vestibular los patients

Nicolas Vuillerme , Nicolas Pinsault, Olivier Chenua, Jacques Demongeota, Yohan Payan , Yuri Danilov. Sensory supplementation system based on electrotactile tongue biofeedback of head position for balance control, Neuroscience Letters, 431, 3 (2008) 206-10

2009

The first textbook chapter about vestibular substitution

Danilov, Y. P., Tyler, M. E. and Kaczmarek, K. A. (2008). Vestibular sensory substitution using tongue electrotactile display. In Human Haptic Perception: Basics and Applications (Grunwald, M., Ed.), Birkhauser Verlag, Basel, Switzerland. (invited review), Chapter 39, pp. 467-480

2010

First independent objective verification of tongue stimulation effects using fMRI

Wildenberg, J.C., Tyler, M.E., Danilov, Y.P., Kaczmarek, K.A., Meyerand, M.E. (2010) Sustained cortical and subcortical neuromodulation induced by electrical tongue stimulation. Brain Imaging and Behavior.

Independent verification in Brasil

Barros, C.G., Bittar, R.S., Danilov Y. Effects of electrotactile vestibular substitution on rehabilitation of patients with bilateral vestibular loss, Neuroscience Letters, 476, 3 (2010) 123-6

2011

UW-Madison, fMRI verification continued

Joseph C. Wildenberg, Mitchell E. Tyler, Yuri P. Danilov, Kurt A. Kaczmarek, Mary E. Meyerand. Electrical tongue stimulation normalizes activity within the motion-sensitive brain network in balance-impaired subjects as revealed by group-ICA. (2011). Brain Connectivity.

Joseph C. Wildenberg, Mitchell E. Tyler, Yuri P. Danilov, Kurt A. Kaczmarek, Mary E. Meyerand. High-resolution fMRI detects neuromodulation of individual brainstem nuclei by electrical tongue stimulation in balance-impaired individuals (2011). Neuroimage 56, pp. 2129-2137

Joe C. Wildenberg, Mitchell E. Tyler, Yuri P. Danilov, Kurt A. Kaczmarek, and Mary E. Meyerand. Altered Connectivity of the Balance Processing Network After Tongue Stimulation in Balance-Impaired Individuals. Brain Connectivity, 3,1, ( 2013), 87-97.

First use of tongue stimulation for stroke patients

Badke MB, Sherman J, Boyne P, Page S,Dunning K. Tongue-based biofeedback for balance in stroke:results of an 8-week pilot study. Arch Phys Med Rehabil 2011;92:1364-70.

2014

First controlled study with MS patients, , UW-Madison

Tyler, ME, Kaczmarek, KA, Rust KL, Subbotin AM, Skinner, KL, Danilov, YP. (2014) Non-invasive neuromodulation to improve gait in chronic multiple sclerosis: a randomized double blind controlled pilot trial. Journal of NeuroEngineering and Rehabilitation, 11:79.

Feasibility study on spinal cord injury subjects (SCI), Canada

Chisholm, Amanda E., et al. « Feasibility of sensory tongue stimulation combined with task-specific therapy in people with spinal cord injury: a case study. » Journal

Cbd/tch latest studies :

Latest studies about cbd /tch coming from Israel :

« Paediatrics

Two trials on spasticity in paediatrics patients suffering from cerebral palsy are in final stages, the first is a double blind, placebo control trial assessing safety and efficacy of Sativex® in 72 patients (NCT01898520, GW Research Ltd.), and the second is a randomized controlled trial comparing two cannabis oil formulations (5% CBD and 0.2% THC) and (5% CBD and 0.8% THC) provided by Tikun Olam Ltd in 40 patients (NCT02470325). In an intermediate analysis on 25 patients, adverse effects were rare and included worsening of seizures in 2 patients, behavioral changes in 2 and somnolence in 1 35. A large double blind, randomized, placebo‐controlled trial with crossover that is now recruiting, is assessing the safety, tolerability and efficacy of whole plant extract versus 99% CBD oil and placebo (provided by BOL pharma ltd) in 120 patients with autism spectrum disorder (NCT02956226). »

You can read about others conditions studed :

https://europepmc.org/article/PMC/6177696

« While some of the public and mainstream media have already accepted medical cannabis to be effective in a lengthy list of conditions, clinical studies with an appropriate study design are few. Only few studies are prospective and most clinical trials investigating medical cannabis and its derivatives are not placebo controlled, not blinded and have small sample sizes. This situation leads to a division within the medical community: those in favor of using cannabis who also usually see themselves as pioneers in this area and tend to prescribe cannabis even when the evidence is insufficient, while opponents of medical cannabis might perhaps end up denying a patient cannabis even in situations where cannabis has been shown to be beneficial (pain, nausea and sleep disturbance, National Academies of Sciences Engineering and Medicine Report 38). Furthermore, rapidly developing clinical research is rather not focused, and many cannabis research programmes are concentrated around rare diseases, where the regulatory process and thus time to marketing are perceived to be shorter. Yet, we believe that cannabis derived medications should have a significant role in the treatment of chronic pain symptoms and to be a safer substitute for opioids in palliative care.

Israel has developed a regulatory environment where the indications for which cannabis can be prescribed are tightly regulated, and developed based on the accumulation of research and clinical experience data thus far. « 

Human Umbilical Cord blood monocytes, rescue brain cells from hypoxic-ischemic injury:

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/670794v1.full

Finally I found publication about CD14 cells in cord blood from Duke!

here Duke study about CD14 +

Cd14 in cord blood

they found potential not in perepheric blood !!!so not all cd14 are equal :

« Gene expression microarray analysis demonstrated that compared to PB-CD14 monocytes, CB-CD14 monocytes over-expressed several secreted proteins with potential to protect neurons. Differential expression of five candidate effector molecules, chitinase 3-like protein-1, inhibin-A, interleukin-10, matrix metalloproteinase-9 and thrombospondin-1, were confirmed by western blotting, and immunofluorescence. These findings suggest that CD14 monocytes are a critical cell-type when treating HI with CB-MNC. »

« intravenously injected CB-MNC products [55] do not need to reach the brain in order to promote repair of stroke or other HI brain injury. Instead, cell products

reaching the lungs or spleen may induce endogenous cells to produce soluble factors or activated

cells that go to the brain and mediate repair [56-58]. Future studies investigating the

biodistribution of CB monocytes will determine the most effective route and dose for

administration.

In summary, monocytes in CB, but not PB, protect brain neurons from death and reduce glial

activation following HI insult in an in vitro OGD model. Soluble factors released from CB

monocytes contribute to this protection. We have identified secreted proteins enriched in CBCD14+ monocytes compared to PB monocytes that may play a role in neuroprotection and repair.

This work enables future detailed study of the mechanism of neuroprotection and development

of mechanism-based release assays for CB products, and formulation of new strategies for using

CB monocytes as therapeutic agents in treatment of HI-induced brain injuries. »

LOW-LEVEL LIGHT THERAPY (LLLT) or photobiomodulation.

Lideur mondiale dans étude de LLLT:

Michael R Hamblin Ph.D.

Associate Professor

Department of Dermatology

Harvard Medical School

BAR 414

Wellman Center for Photomedicine

Massachusetts General Hospital

40 Blossom Street

Boston MA 02114

USA

Member of Affiliated Faculty of Harvard-MIT Division of Health Sciences and

Technology

Tel 617-726-6182

Fax 617-726-6643

e-mail hamblin@helix.mgh.harvard.edu

“Low level laser (light) therapy (LLLT) also known as photobiomodulation (PBM) therapy has been practiced for almost fifty years, and hundreds of positive clinical trials and thousands of laboratory studies have been published. Despite these impressive accomplishments LLLT has still not reached the stage of acceptance by mainstream medicine. The reasons for this were discussed at a recent Optical Society of America (OSA) Incubator meeting in Washington DC in 2014. Uncertainty about mechanisms was highlighted, and this paper will describe the current thinking. To drive LLLT towards mainstream medicine, we need better guidelines with standardized protocols and consistent parameters. Studies should be published in higher impact scientific and medical journals. Companies should avoid false promises and deceptive marketing, and physicians should receive a clearly defined return on investment with insurance reimbursement.”

Source:

https://www.researchgate.net/publication/281708244_Low_level_laser_light_therapy_and_photobiomodulation_The_path_forward

Anglais:

http://photobiology.info/Hamblin.html

Russe:

https://flyclipart.com/ru-hamblin

He adviced me to use this model:

https://joovv.com/products/joovv-light?variant=39356431694

Looking at the brain as a tissue….

« There are several degrees of damage to the brain tissue, and the most severe one is necrosis because the tissue is fully dead, there’s nothing there. In the instance where we have necrotic tissue, there is nothing we can do. But in the surrounding tissue, there might be tissue that is not fully dead, that is damaged. In this tissue, we have metabolic dysfunction. The cells in this area have sufficient oxygen supply to stay alive, but they don’t have the full energy needed for the full activation. This is where hyperbaric oxygen can help. The challenge is to be able to demonstrate this. »

Good article interesting interview with dr Efrati 😉 yes my son doctor :

https://www.neurologylive.com/clinical-focus/hyperbaric-oxygen-therapy-offers-hope-post-stroke-cognition-issues